La fête de la Saint Valentin a longtemps été celle des célibataires et de la débauche (et oui !), celle des damoiseaux qui tentaient de débusquer au détour des ruelles, des jeunes filles pour la gaudriole... Au XIVe siècle, nos voisins anglais mettent à un terme à ces jeux ineptes en insufflant une bonne dose de romantisme et de respect mutuel. Depuis la fête des amoureux, des amants récents ou des couples éternels, s’est imposé le 14 février de chaque année comme le rendez-vous des cœurs battants, des bouquets de fleurs et des tête-à-tête au restaurant toutes bougies allumées. Une grande fête symbolique récupérée par les commerçants et le marketing, un non événement galvaudé et dépassé, dénoncent ses contempteurs. « La fête de la Saint-Valentin n'est pas plus ringarde que celle de Noël ou du 31 décembre ; pas plus commerciale que la fête des mères non plus, constate le psychanalyste Pascal Couderc, auteur de La manipulation affective dans le couple paru aux éditions Albin Michel en 2010.
C'est un symbole et... un véritable marronnier pour la presse ! Ne soyons pas bégueule, ce jour-là, on transmet un message de vérité, et sans être traditionaliste, il est plutôt agréable en période de tension de préserver ces moments là. Quant au côté commercial, certes faire un cadeau est un acte marchand, mais l'attention est plus importante que le ticket de caisse...
La suite, à voir et à lire dans MO FASHION EYEWEAR, sur www.mo-lemag.fr, LeKiosk.com, ou monopticien.com
Si vous souhaitez le recevoir en PDF, laissez un message...